extrait de mon roman

ça fait un petit moment j'ai términé d'écrire un roman, Karaté, les douzes morceaux d'Excalibure et en voici un petit extrait :
Léo posa le onzième bout d'excalibure sur la Pierre sacrée. Maintenant il ne lui manquait plus qu'un seul morceaux de l'épée du roi Arthur, il lui manquait la pointe la pièce la plus importante. là ou était l'essentiel du pouvoir de l'épée. Il sortit la boussole magique de sa poche. Il regarda l'aiguille mais elle indiquait aucune direction précise. elle ne faisait que tournoyer. Croyant la boussole cassée Léo sorti de la grotte.
Il vit la chose la plus inattendue. une armée se dirigeait vers la colline sur la quelle se trouvait la grotte. Léo comprit que le Phénix le guettait et qu'il voulait s'emparer des autres morceaux d'Excalibure et rendre les chances pour Léo de sauver le royaume à néant. Derrière l'armée se trouvait un carrosse tirait par deux taureaux. préoccupé par l'armée qui se dirigeait vers lui Léo ne remarqua pas l'immense volatile qui vola par dessus sa tête. l'oiseau atterrit derrière Léo. Léo l'entendit et se retourna. il vit l'oiseau se transformer en une forme humaine.
-Toi s'exclama Léo. J'avais raison tu me suivait et me guettait depuis que j'ai quitté Autocarie.
- Oui. As tu un veux avant de mourir ? ricana le Phénix avant de s'emparer de son épée.
- Pourquoi aurais je peur de toi ?
- Parce au bout de mon épée se trouve la pointe d'Excalibure.
Le Phénix fondit sur Léo et toucha son coeur.

on sait pas ce qui se passe avant mais moi en tout cas j'aime bien ton petit extrait

si voulez je peux vous montrez d'autres extraits

c'est pas mal du tout! je te félicite. je veux bien lire d'autres extraits.

cet extrait est sans doute moin intéréssant que le premier. c'est le tout début du roman :
Le médaillon du Soleil
Grégory Ausimoure, un grand jeune homme aux cheveux bruns en bataille, se tenait assis sur son nouveau canapé en cuir regardant la rediffusion d’un journal télévisé. Devant le canapé se trouvait une petite table en bois, très ordinaire, sur laquelle se trouvait entassée un empilement de journaux et de magasines. A coté de la pile se trouvait une autre pile de lettre et d’autre papier que Grégory avait laissé là involontairement, ou par mégarde. La pièce dans laquelle il se trouvait, n’était pas très grande. Au coin se trouvait un meuble sur la quelle était posé la télévision, au bout de la pièce se trouvait la porte d’entrée de la maison. Le mur était recouvert de papier peint d’un marron presque beige.
Revenons à la rediffusion du journal télévisé. Le présentateur était en train de parler d’un miroir, découvert en Egypte, à la vallée des Rois, par Grégory. Ce miroir contenait des inscriptions qui rendait fou les plus grands spécialistes du monde. Elles ressemblaient un peu à du latin, et à d’autres langues. Apparemment, ces langues appartiennent aux langues originaires de l’Indo-européen. Des scientifiques en ont déduit que ces gravures ne pouvait être que l’Indo-européen. Le miroir fut transporté dans les plus grands musés du monde. Le présentateur télé posa à Grégory sur le miroir, notamment s’il était d’accord sur le fait que les gravures sur le miroir était de l’Indo-européen et si oui, quel était son avis sur la civilisation qui aurait écrit ses gravures.
- Je pense effectivement que ses gravures pourraient être de l’Indo-européen. Pour réponde à votre deuxième question , je pense que cette civilisation est ou plutôt était très avancé. La question que je me pose est pourquoi ce miroir se trouvait dans un tombeau égyptien ? Je voudrais …

C'est super ! bravo !

bien!

vous voulez la suite ?