Ma petite histoire...

Voilà j'écris de spetites histoires (enfin petite....pour moi petit= grand donc...) donc voilà... j'ai décidé que dès que je pourrais j'écrirais un petit bout de cette histoire... Donc je vous explique le contexte.... (membres de mon fofo sa ressemble un peu à ce qu'on joue...)

Nous sommes au XVIIeme siècle Francesca à 8 ans. Il y a deux ans sa mère est morte et son père vient de mourrir... Comment? Vous le saurez bientot...Je tiens juste à préciser qu'il y aura de nombreuses incohérences temporelles ce qui est normal je 'nai pas voulu respecter ce cadre! voici l'histoire

La petite fille courrait à perdre haleine. Depuis combien de temps? Elle même n'en savait rien, mais la peur lui ordonnait de courrir, toujorus plus loin, sans s'arrêter, aussi vite que ses jambes, celles d'une fillette de 8 ans, le lui permettaient. Soudain, épuisée, assoiffée et affamée, elle se laissa tomber et ne bougea plus, l'oreille aux aguets. "Il" semblait ne pas l'avoir suivie. Ce qui attira son attention, c'était le bruit d'une rivière qui coulait doucement, tranquillement. Elle alla donc vers cette eau qui s'offrait à elle. S'agenouillant elle regarda avec attention ce nouveau reflet qui s'offrait à elle et ne se reconnut pas. Elle porta instinctivement ses mains à ses joues. Où étaient ses joues couleur de pêche bien rebondies? ses cheveux devenus ternes retombaient, gras. Qu'était il advenu de ses cheveux jadis si soyeux, si beaux avec leurs magnifiques bouclettes? Quand à l'étincelle dans se spetits yeux verts-gris, elle avait tout bonnement disparue.
Elle se ravitailla en eau. Et se remit à courrir, perdue, et terriblement seule. Elle était désormais bien loin de chez elle et incapable de retrovuer son chemin. Quant à son frère, Gilbert, qu'elle appelait tendrement Landry et qui était d'un an son aîné elle le savait désormais en sécurité, chez sa tante, cette femme qu'elle détestait tant.
Landry. Landry et elle était désormais séparés et c'était cette pensée qui l'obsédait. son Landry, le héros des contes que leur mère lisait avait délaissé sa Lutine comme il l'appelait. Comment pourraient ils se retrovuer? Alors qu'infiniment lasse elle y réfléchissait, elle tomba sans pouvoir se relever, et sombra dans les ténèbres du sommeil, lourd et impossible à empêcher pour une fillette de 8 ans...

Elle se réveilla quelques jours plus tard dans un lieu sombre, allongée sur un lit nettement moins confortable que tout ce qu'elle avait connu. Les soeurs du couvent où elle se trouvait et la mère supérieures la regardaient d'un oeil inquiet. Elle se redressa affollée comme un petit animal traqué en balbutiant.

"Ou suis je? je veux ma maman!
- Ne craignez rien ma fille vous êtes en sécurité ici avec nous...
- Je veux voir ma maman! Qui êtes vous?
- je suis la mère Louise. Mère supérieure du couvent des Capucins.
- Je veux...je suis Francesca. Francesca de Montélimart, héritière du comté de Vichy. Je veux retrouver mon frère. Je veux que landry vienne me chercher. murmurra t-elle sans tenir compte des sursauts des dames de foi à l'annocne de son nom.
- Vous êtes... Vous êtes la fille de Luisa? Pourquoi votre mère n'est elle pas avec vous?
- Ma mère.. Mère est...Elle est...
- Oh mon dieu! Ma apuvre petite vous resterez ici jusqu'à ce que votre père vienne vous reprendre.
- Non!!! hurla la petite fille comme dans un cauchemar. Vous ne comprenez pas! Père ... elle s'interrompit..
- Votre père?
- il y avait du sang.. Du sang partout...Non non!!!! s'afola t-elle.
- Ma pauvre enfant..."

La petite fille grandissait et embellissait chaque jour dans le couvent des capucins. Mais les soeurs savaient que ce passge n'était pas éternel et que d'ici peu, la reine de France, Marie Thérèse d'Autriche, ancienne meilleure amie de Luisa de Brancovan, comtesse de Vichy femme de Gérard de Montélimart, ordonnerait bientôt le renvoi de la petite dans sa famille, chez sa tante.
Le jour vint, la tante de l'enfant aussi. Aussitôt, le beau frère de Gérard de Montélimart, ne put s'empêcher d'être totalement attendri devant cette enfant, blonde, de grands yeux verts expressifs, un petit visage bien ronds, une beauté rare, exceptionelle et dont il émanait une certaine fragilité mais également une grande force. Si la mère Louise s'était attendu à une preuve d'amour de la part de Micheline la tante de Francesca, elle avait alors oublié qui était Micheline. Celel ci était une jeune femme de vingt ans, arogante,égoïste et vaniteuse. Elle n'aimait que els petits garçons et haïssait les fillettes dont elle craignait qu'elles ne deviennent ses rivales et étant donné la beauté de la protégée du couvent, il n'aurait pas fallu croire à l'amour de la part de Micheline de Saint André!

voilà vous en pensez quoi de ce début?

ok merci....

Merci ma chérie!!! Il faut dire que le fofo est une source d'inspiration mdr!!! je vais faire un mix entre els deux mdr sa risque d'être....;explosif mdr!!!!

mdr delphine merci miss

Jvous raconte la suite???

voilou la suite!!!! je remets le reste des que possible!!!mdr

comme qui dirait

"la suite au prochain épisode"!!!!mdr

je remotne le topic.... Dites franchement si je continue ou pas....

je continue?

merci
bon alors..
je lis mon dernier mail
et ce sera bon!!!

C'est ce moment là que choisit Micheline pour rentrer après une heure d'absence. Elle fit une révérence de mauvaise grâce devant la reine qui l'interrompit d'un geste
'Madame yemmène la pétité avec moi. Elle à l'age dé vénir à Versailles.
- Francesca...a...Versailles?
- Si si!! la pétité va vénir avec moi. Et bien sour elle né pé pas vénir commé céla! Veuillez l'habiller conformément à son rang!
- B..bien sur Majesté! bredouilla Micheline
- Presto presto!"

Une fois correctement vêtue et coiffée, la riene accompagna la jeune fille dire au revoir à ses amis. L'un deux, Johan, lui prit le visage entre les maisn en lui murmurrant
"Allons Frances! Tu ne peux pas y aller!
- Mais si pourquoi?
- mais versailles... Ses secrets.. C'est trop... pour toi!
- Mais non! Tu vas me manquer Johan...
- Frances écoute!
- J'ai entendu! A bientot Alyse. poursuivit la demoiselle en s'adressant à celle qui avait toujorus été comme sa soeur.
- Au revoir ma jolie Frances!"

Quelques heures après, la jeune fille se retrouvait à Versailles. Tandis que Marie Thérèse rejoignait ses appartements, Francesca fut conduite à la suite princière que lui avait réservée la reine.
Elle ne put s'empêcher de courrir et d'entrer sans etre annoncée afin de remercier Marie Thérèse sous l'oeil désaprobateur des dames de l'assemblée. elle s'agenouilla comme une enfant auprès de la reine.
"Oh majesté merci!
Yé sousi heureuse dé voir votre sourire ma pétité. Vos appartements vous plaisent ils?
- Oh oui Majesté! Ils sont les plus beaux du royaume et du monde!
- Quel Manque de tact mademoiselle persiffla Athénais de Montespan qui d'ores et déjà détestait la jeune fille. Les plus beaux après ceux du roi sont bien évidemment ceux de la reine! Vous n'avez que des appartements ordinaires, des plus banals... En fonction de votre argent...
- il suffit Madame! s'écria Marie Thérèse. La pétité elle est sous ma protection et si yestime qu'elle manque dé tact yé lé loui dit! Et... Elle n'a pas des appartments ordinaires.... Ils sont ceux des princesses!
-LE ROI! cria un garde des appartmeents royaux tandis que tout le monde hormis La reine qui était assise et Francesca qui bien que s'étant relevée ne bougeait pas d'un poucé en voyant devant elle l'homme de tous ses maux plongeait dans une révérence.
- Madame. Dit le roi d'une voix neutre en faisant à la reine un baisemain. Je suis venu m'enquérir de votre santé on m'a dit que vous souffriez de la tete!
- Yé vais bien... Mais porque né pas dire qué vous vénez tout simplement voir Madame de Montespan?
- Madame je ne vous permets pas! S'échauffa le roi
- Majesté.. intervint ironiquement Francesca. Oseriez vous le nier quand le tout paris même est au courant de vos...entretiens très....avancés avec cette chère marquise?
- Mademoiselle! J'ignore votre nom mais j'exige des excuses vous nous insultez! N'oubliez pas à qui vous parlez!!!
- Je suis Francesca de Montélimart, Comtesse ou du moins héritière du comté de Vichy...Et je sais bien à qui j'ai à faire "votre Majesté"! Cependant je ne vous doit rien!
- Ainsi Madame cette péronelle est votre protégée! Elle n'a rien à voir au delà du physique avec l'innocente enfant dont vous me faisiez le portrait hier encore.
- Jé né sais pas cé qu'elle a Louis... Ma fille yexige des excouses!




MAIS QUE VA TIL SE PASSER??? FRANCESCA VA T ELLE DEFIER LOUIS XIV???