une petite histoire

bon alors je suis long d'avoir le style d'hewingway mais voilà une petite histoire :
Léa a 17 ans et Luc aussi. Ils sont tout les deux amoureux. Ce qui est le plus beau, c’est qui sont amoureux l’un de l’autre. Ce soir c’est le grand soir. Les parents de Léa ont laissé la maison pour le week-end aux deux enfants Le père a eu du mal à partir, il faut dire qu’il laisse son unique bébé à la merci du jeune homme, lui qui se rappelle si bien du premier jour d’école de sa petite princesse. C’est Madame qui l’a obligé à mettre le contact : « Démarre, quand nous reviendrons elle sera encore plus belle. »Alors il a démarré en pensant au premier spectacle de classe de sa puce, elle était l’un des sept nains, Joyeux, elle était si innocente. Madame, elle se félicite d’avoir offert à sa grande fille, ce matin, un paquet de préservatifs et au cas ou, une boite de pilule du lendemain.
Luc l’emmène au cinéma, ils voient une adaptation d’un comics. Ils discutent du film pendant le trajet du retour. Ils savent tout deux que ce soir… Leurs regards se fuient, ils sont un peu gènes. Surtout lui qui repense au regard lourd du père à Léa. Elle, elle a peur d’être ridicule lorsqu’il faudra mettre le préservatif sur la… l’idée même la bloque. Et si elle était ridicule, si elle n’arrivait pas. Elle a pourtant lu correctement la notice : dérouler doucement le préservatif sur le sexe du partenaire masculin. Elle se met à rire, la personne qui a écrit voulez quoi ? Que l’on le déroule sur le bras du partenaire féminin ? Luc lui demande ce qui la fait rire, elle lui explique, il rit, plus de gêne entre eux. Ils s’embrassent, accélèrent le pas.
Ils entrent dans la chambre d’amis, c’est plus commode, Léa n’a qu’un lit une place. Ils s’allongent tout les deux et commencent à s’embrasser. C’est lui le plus hardi, ses mains explorent le torse de léa. Il décroche le soutien gorge. Il pense que les cours de son frère sur l’état délicate du soutien gorge a bien servi. Il caresse doucement la poitrine de son amoureuse, elle commence à gémir. Il embrasse la poitrine, cette poitrine qui l’obsède tant, il joue de sa langue avec les tétons. Léa commence a ne plus réfléchir, ses mains dénudent son Luc, elle sent celui-ci se durcir. Elle touche ce qui lui fait si peur, Luc gémit, elle recommence, elle fait un mouvement de va et viens. Il arrête, elle sort un préservatif et le déroule sur le sexe de son partenaire masculin : Luc. Elle s’allonge, elle l’attire à lui et alors commence la danse. Elle a d’abord mal puis elle commence à ressentir le même plaisir qu’au moment où il jouait avec ses seins.
Il se réveille, elle est à ses cotés. Il sent un liquide chaud entre ses jambes. Il regarde, les draps sont rouge. Cette nuit Léa a fait une hémorragie. Elle est morte.

je dois dire que je ne m'attendais pas a ca...
au debut j'ai cru que ca alalite tre culcul.. ensuite je me suis dit ca y est, c'est du porno.. et la fin... on ne s'y attend pas du tout et c'est justemetn ca qui fait toute la beauté de ce texte..... j'aime beaucoup...
dis, est ceque tu m'autorise a le garder voir meme a le mettre sur mon blog (mais en signalant qu'il est de toi bien sur... parce que moi j'ecrirai jamais! je suis d'une quatlité tres mediocre comparée a ca!)??

c'est très gentil tu peux le mettre il n'y a pas de problème.

c'est très très très très très (et je pourrais continuer mais j'aurais une crampe lol) boooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooo !!!!!!!! bisous ADINE

merci beaucoup je suis toute rouge!!

encore une petite fiction de moi. C'est une fiction je vous jure...
« Tu es si froide, Cecilia que j'ai l'impression que rien ne te touche ou que tu ne ressens rien. »
« Tu es une autiste. » C'est par ces deux phrases lancées sans méchanceté et même de l'humour que mon handicap a débuté. La deuxième phrase vient de mon père. En famille, sur la terrasse, tous, entrain de manger, j'ai dut faire encore une erreur. Il en a eu assez il m'a dit : « Tu es autiste. » Moi j'étais trop jeune ou trop bête pour comprendre, mais j'ai su par la réaction de ma mère qu'il avait été un peu loin dans ses mots pour une enfant. J'ai quitté la table pour aller pleurer seule dans ma chambre. Je n'aime pas pleurer en public. Je préfère que les gens croient que je ne pleure plus. J'ai pris mon dictionnaire ; cadeau de la fin du CM2. « Autisme : n.m. ( du gr, autos, soi-même). Trouble psychiatrique caractérisé par un repli pathologique sur soi accompagné de la perte de contact avec le monde extérieur, typique de la schizophrénie chez l'adulte, observé également chez l'enfant. » J'avais enfin un nom a collé sur mon sentiment de rejet par les autres. Ce fut à la fois une grande souffrance et un soulagement : si c'est une maladie c'est que ce n'est pas de ma faute. Je ne suis pourtant pas autiste, il s'agit juste d'un dérapage verbal de mon père. Un énervement qui a conduit à une question que je me pose encore : suis-je malade ? Je n'ai jamais osez en parler avec quelqu'un. Ce n'est pas facile de se confier quand on a si peur de la réponse. Je crois que je me suis sentie étrangère pour la première fois à l'age de quatre ans. Je rentrais dans une nouvelle école, j'avais une nouvelle maison et une nouvelle s½ur. Je n'ai pas été acceptée par les autres filles, elles se jouaient de moi mais ce ne fut pas la période la plus dure. A quatre ans on en a rien à faire de petites pimbêches quand on a pleins de copains. J'ai joué avec les garçons toute ma maternelle, mais pourtant je n'étais pas chez moi. Déjà j'ai commencé à me croire malade tout le temps. D'abord, des mensonges pour rentrer à la maison. Et plus je grandissais plus mon corps se révoltait contre tout ce que j'enfouissais en moi. Ne pas décevoir, ne pas montrer qu'on a mal à l'école, que son petit corps pleur sans cesse. Un corps qui se rebelle c'est effrayant. Pourquoi j'ai tout le temps envie d'aller aux toilettes ? Pourquoi je me réveille en larmes et en sueurs ? Pourquoi je ne peux pas dormir toute seule ? J'ai toujours eu envie que l'on aime, comme tout le monde bien sur, mais j'ai toujours eu l'impression que l'on ne pouvait pas m'aimer. Je n'étais pas aimable. Pourquoi ? Je ne sais pas peut-être parce qu'on me l'a répété et aussi parce que je suis malade. Mais malade de quoi ? Si l'autiste n'était pas la solution, alors de quoi s'agit-il ? Si je t'écris tout ça ce n'est pas pour que tu aie pitié de moi. Non, c'est pour que tu comprennes que je t'ai aimé comme une folle. Que je n'ai pas su te le dire mais je n'ai jamais su vraiment le dire. J'ai fait des tentatives mais si minimes que je comprends que tu sois parti. Je te veux juste te montrer que je ne suis pas un monstre. C'est grâce à toi que j'ai compris que toutes les théories de mon enfance étaient erronées, que je peux aimer et être aimer. Je ne veux pas t'écrire mon enfance, je n'ai jamais réussi à te le dire parce qu'aujourd'hui encore je pleure en y pensant. Je ne suis pas guérie de ce qui a eu lieu il y a plus de dix ans. C'est ça mon handicap. J'ai toujours écrit pour rêver. Dans mes récits je conduisais mes héros jusqu'à l'amour ou la paix absolue pour qu'ils puissent mourir heureux. Certains trouvaient mes textes tristes moi je n'écrivais que l'amour absolu. Celui dont on ne peut réchapper. Voici l'un de mes textes, il ne ressemble à aucun n'autre il s'agit de mes souvenirs. Un jour j'ai eu besoin de les écrire pour les partager et pour les exorciser. « Tout dans ma vie change. Maman a plus sont gros ventre... une poupée pousse des cris tout le temps ma chambre est plus la même... ma maison est plus la même... mes voisins sont plus les même... la rue a changé... Papa dit que c'est parce qu'on a déménagé. Je vais dans une nouvelle école, ce qui me gêné c'est que je dois aussi y aller l'après midi, fini les siestes avec Maman. L'école est étrange... les autres enfants ne me parlent pas vraiment.. Les filles disent que je suis moche et que je ne suis pas comme elle... les garçons veulent bien jouer avec moi, à la condition que je fasse comme eux. Il y a une fille qui veut bien jouer avec moi mais que quand les autres ne nous voient pas... j'ai l'impression d'être un alien. Je ne le dis pas trop à Maman, elle est contente d'être dans la nouvelle maison.
Aujourd'hui c'est mon anniversaire, ils sont tous là... ils jouent un peu avec moi... mais ils rigolent entre eux. Je suis toujours la petite nouvelle... ils m'impressionnent beaucoup... j'aimerais être l'une d'eux... il y a cette fille, la meilleure amie à toutes les filles ... les garçons sont amoureux d'elle... moi aussi je voudrais qu'ils m'aiment... surtout lui... On joue aux mariages chinois, elle et lui tombent systématiquement ensemble... je suis jalouse ... ils trichent, je le dis, on me crie dessus.
Ma capuche... ils ont jeté ma capuche dans la poubelle ... de l'autre côté de la cour... ils rigolent à se pisser dessus... et moi... moi, je pleure j'ai mal au fond de mon petit ventre, j'ai le c½ur qui implose ... Pourquoi ils ont fait ça ? ... Je voulais seulement jouer avec eux... je ne peux pas la récupérer... en cours je pleure... Je ne peux pas le dire au maître... ils font se venger... le maître me demande de lui dire pourquoi au fond de la classe, une petite fille pleure... c'est moi la petite fille... « Ma capuche, ils ont jeté ma capuche dans la poubelle » je les montre du doigt.
Ils n'ont pas voulu jouer avec moi pendant un mois... tout est ma faute... mon corps commence à faire n'importe quoi... j'ai tout le temps envie d'aller aux toilettes... je ne peux plus dormi ... j'ai mal tout le temps... rien dire à Maman continuer à dire que tout va bien... pourtant elle s'inquiète un peu c'est sûrement mes dessins... je me dessine morte... pendue, écrasée, les yeux pleurant du sang... j'ai peur constamment de me réveiller... Je voudrais dormir pour toujours.
Ils me haïssent tous... le professeur est parti et... comme le dire avec mes mots... je suis trop jeune pour l'exprimer... Ils ont tous crié... « salope, petasse, conne, débile... »... lui le seul en qui j'ai confiance ... il m'a tapé... Pas fort derrière la tête... je pleure devant eux... ça les fait rire. Le professeur revient... « j'ai juste mal à la tête »... je ne dis rien ça pourrait être pire.
Ce jour là on regarde une cassette sur la révolution... je n'arrive pas à voir l'écran... mes larmes me le cachent... lorsqu'il faut sortir, je vois qu'il n'y a personne pour venir me chercher... comme dans les films, je regarde autour de moi... tous tournent... mes jambes ne me portent plus... je sombre deux secondes dans le noir... je l'ai attendu toute ma vie ce noir.

suite


Mes yeux s'ouvrent une fille de l'école est à côté de moi... « j'ai mal à la tête c'est rien. Non je vais rentrer seule merci. » Je ne suis pas une folle. En rentrant je me jette dans les bras de Baba, c'est mon seul ami. Je ne veux pas sortir de ma chambre... je ne veux pas retourner à l'école.... Je sais lire, compter et écrire... je n'ai plus rien à apprendre... je prends un livre et je découvre que lire c'est arriver à les oublier... LIRE C'EST VIVRE !!!
Avec le collège j'ai cru que ça partirai mais c'est revenu... envie de mourir...un demi-essais. Deuxième crise de nerfs... j'ai à peine 12 ans. »
Voilà les douze premières années de ma vie, ce n'est pas très gai mais j'ai aussi de magnifiques souvenirs de cette période. Je dois te dire que je t'aime encore mais que c'est pour cela que je dois t'éloigner de moi. Je ne pourrais jamais t'aimer comme tu dois l'être. Je ne peux pas encore aimer. Je vais commencer par notre rencontre. C'est à ce moment précis où j'ai commencé à croire en moi. Dans un café, un soir de printemps, une sortie entre amis, j'étais dans les bras de mon meilleur ami quand tu es arrivé. Je me suis vite dégagée, je voulais que tu me voies, que tu ne vois que moi. Pourtant je n'ai rien fait, je n'ai pas pu de faire comprendre que j'attendais que tu me vois. Je n'arrive pas à faire le premier pas. Je n'ai jamais su. Trois jours après tu m'as appelé, je ne sais toujours pas ce qui a pu te plaire en mois ce soir là. J'étais totalement absente. Toutes les autres filles étaient beaucoup plus jolies, beaucoup plus souriantes ou plus drôles et pourtant c'est mon numéro que tu voulais, mon portable qui a sonné. Au téléphone je n'ai pas dis la moitié de ce que ma tête criait. J'étais si heureuse. Je t'ai donné rendez-vous, je ne sais pas où j'ai trouvé la confiance. Quelque part en moi, je savais que je pouvais me fier à toi. Je suis tombée amoureuse de toi quand je suis arrivée. Tu étais été déjà là. J'avais dix minutes d'avance et toi tu étais déjà là. Je n'ai jamais fait ce que j'ai fait avec toi. J'ai été confiante. Bien sur ça ne c'est pas vu. Comme t'expliquer que je ne pouvais pas tout te donner ? Etant enfant je voulais toujours tout donner pour que mon amour soit visible. Que les gens ne doute pas du fait que je les aimer. Mais pourtant je te jure que j'ai fait de gros efforts. Etre auprès de toi, te prendre la main en public, t'embrasser sans honte. Je n'avais pas honte de toi. Comment je pourrais avoir honte de toi, je ne peux pas l'avoir. Je te jure que tu es un homme merveilleux. J'ai cherché un idéal et je l'ai trouvé en toi. Tu es le prince charmant que j'attends depuis que j'ai lu mon premier conte. Ma seule honte c'est d'être seulement moi. Je ne suis pas quelqu'un d'exception comme toi. Je ne dis pas ça pour que tu croies que je te complimente. Non, je t'ai déjà dis que je ne prétendais pas redevenir ta petite amie. Enfin je me perds encore dans des explications qui ne servent à rien. Lorsque tu m'as embrassé pour la première fois, j'ai cru devenir folle. Tu as su deviner exactement comme je rêvais de ce premier instant. J'ai senti mes pieds décollaient du plancher. Mais qu'est-ce que j'ai fait après ton élan vers moi. Je me suis éloignée. Je sais que ma réaction t'a blessé. Comment aurais tu pu rester de le même devant une fille si froide ? Pourtant je te jure que dans ma tête j'ai refais cette scène une centaine de fois et jamais je n'ai eu ce comportement là. Mais je sais que mes rêves ne changent pas que je me suis éloignée de toi alors que toi tu m'ouvrais les bras. Je ne comprends toujours pas pourquoi tu as persévéré comme ça. Tu as attendu que je sois prête à être officiellement avec toi. Alors que nous étions entourés de couples qui s'embrassaient et qui se tenaient si serraient, toi tu me souriais et tu m'attendais. Combien de filles tournaient autour de toi ? Pourquoi as-tu perdu tant de temps avec moi ? Ce sont ces questions bêtes comme tout qui m'ont empêchées de voir que c'était moi que tu voulais ? Que c'était pour ce que j'étais que tu m'aimais ? Mais je ne le sais que maintenant. J'ai toujours été longue à la détente. Pourtant quand nous étions en privé, il me semble que je n'avais pas peur. Je n'arrive pas à me comprendre moi-même. Un jour _ je m'attendais qu'il arrive_ ça a éclaté. Deux mois que nous étions ensemble et je n'arrivais toujours pas à être naturelle dans tes bras. Ce qui m'a fait le plus mal ce jour-là c'est que tu puisses croire que je ne t'aimais pas. « Comprends-moi, je suis raide dingue de toi, de chacun de tes mouvements. Mais j'ai l'impression que tu ne m'aimes pas ! Je ne te demande pas une promesse d'amour pour toujours mais juste une preuve que tu tiens un peu à moi ! Moi, je ne peux pas continuer à me battre seul pour notre couple. » J'ai eu si honte de moi. Je t'ai répondu que je t'aimais mais que j'avais l'impression de te gêner. Que je n'étais pas à ma place. Là tu n'as pas compris. C'était ma faute, j'ai été si gauche dans le choix de mes mots. Tu es parti. J'ai pleuré pendant des heures. Je me suis trouvée si ridicule. Parce que je ne sais pas exprimer ce que je ressens j'ai failli te perdre. Mais toi, toi tu t'es accroché à moi. Tu m'as appelé le soir-même pour t'excuser. Je t'ai dis que tu avais raison, que je m'étais mal exprimé. On s'est vu le soir et j'ai essayé toute la soirée de me faire pardonner. Mais c'est ce soir-là que j'ai compris que tu m'aimais vraiment. Tout ça été nouveau pour moi. Tu dois comprendre que je n'ai jamais fait confiance à un homme. J'ai eu l'habitude que l'on joue avec moi. Je n'ai jamais connu un amour réciproque. Mais je voulais vraiment te faire confiance, ne plus regarder en arrière. Je voulais croire en ton amour. Ça a été mieux, enfin je crois pendant un mois et demi. Les filles me demandaient comment j'avais fait pour trouver quelqu'un comme toi et que j'avais tant de chance. Mais je savais aussi que lorsque je n'étais pas là, elles se demandaient pourquoi tu restais avec une fille si peu amoureuse. Pourtant je te jure que je n'ai aimé que toi. Je suis dingue de toi depuis le premier jour. Je rêvais de moments inoubliables entre nous deux mais j'étais incapable de te les offrir ou même de te le dire. Je ne saurais pas vraiment de dire pourquoi. Peut-être ce sentiment de gêne, pourquoi te faire subir les caprices d'une enfant qui ne sait même pas ce qu'elle veut. Et puis est arrivé ma plus grosse erreur.
« _Je veux te parler d'une chose importante. Je savais déjà ce que tu allais dire. A ce moment j'aurais voulu te dire que je t'aimais. Mais je suis restée devant toi comme une idiote. Tu sais je t'aime Cecilia mais je ne peux pas continuer comme ça. J'ai peur que nous deux ça ne puisse pas continuer si tu ne veux pas faire des efforts. J'en ai marre de voir les autres, ils ne se cachent pas bon sang. Je ne veux pas d'un amour d'adolescent. J'ai envie d'être vraiment avec toi. J'ai envie de vivre avec toi, de fonder quelque chose d'important. Cecilia tu comprends ce que je veux dire.
_ Je le veux aussi. Je te jure que c'est ce que je veux.
_ Alors habite avec moi. Je veux dire s'il te plait tu veux vivre avec moi.
_ Oulà ! C'est une grande décision. Je ne dis pas non. Je suis désolée d'être si dure avec toi et de ne pas te donner l'amour que tu mérites. »
Encore une fois c'est grâce à toi que nous sommes sortis de cette dispute. On s'est installé ensemble dans ton appartement. J'ai quitté la maison de mes parents pour tes bras. Je n'ai pas eu peur de toi mais de moi oui. Comment me comporter avec toi tous les jours ? C'est là vraiment que j'ai perdu pieds. J'avais si peur de te montrer l'image que j'ai de moi que j'ai commencé à partir de la maison très souvent. Ça n'a pas durer longtemps. J'ai vu que tu étais déçu. Je n'avais pas fais ce que j'avais dit. Alors pour ne pas que tu souffres plus, je suis partie. Je n'ai même pas eu la force de te le dire. Je n'ai pas répondu à tes messages, j'ai attendu que tu me quittes. Pour que tu ne sois pas celui qui avait été largué. J'ai honte aujourd'hui. Je me suis comportée comme une enfant, une sale gosse trop gâtée. Hélène n'a rien pu faire pour moi. Elle est la seule qui sait que je t'ai aimé vraiment. Mais le coup de grâce, ce fut quand je t'ai revu, trois mois après mon départ. Tu avais maigri, tes yeux semblaient avoir perdus leur éclat. Je n'osais même pas te regarder en face, j'avais si honte. J'ai passé la soirée à t'éviter mais tu as fini par réussir à me parler. Tu m'as dit que tu n'arrivais même pas à me haïr, que tu pensais à moi sans cesse. Mon c½ur a jaillit de ma poitrine. Tu pensais toujours à moi. Mais je ne pouvais pas te donner assez d'amour pour te satisfaire. Je ne voulais pas te faire encore souffrir. Je n'ai pas compris que si je suivais mes sentiments là tu ne souffriras plus. Je savais que pour que tu arrêtes il fallait que je te regarde dans les yeux. J'ai dit les mots les plus durs de ma vie : « je ne t'aime plus, tu avais raison je ne t'aimais pas. » Je suis partie en courant. Je me suis enfermée dans les toilettes. Je m'enferme toujours dans les toilettes pour pleurer. Je suis restée trois heures. Hélène a finit par me retrouver et me ramener chez moi. Je n'arrivais même pas à lui expliquer ce que j'avais fait. Je crois qu'elle a compris, ce n'est pas ma meilleure amie pour rien. Elle m'a traitée d'idiote. « Tu te rends compte de ce que tu as fait ? Il est fou de toi, il n'aime que toi et toi tu le fuis ? Et pourquoi ? Par peur ! Arrête Cecilia de te cacher derrière ton passé. Tu as le droit d'être heureuse et pour l'être tu dois lui dire que tu l'aimes. » C'est à partir de ces mots que j'ai commencés à changer. J'ai fait plus attention à qui j'étais. Je ne suis pas malade. Les phrases de mes parents n'étaient que des manières de me faire réagir. Et c'est à ce moment que j'ai réagit. Dix ans après leurs mots j'ai compris le message. Qu'importe les mots qu'ils ont pu me dire à l'époque. Maintenant je suis une adulte, ils ne m'impressionnent plus. Mais je ne suis pas encore prête à me sentir aimer. Je me sens encore trop fragile. Je voulais te dire que je n'ai jamais aimé autant quelqu'un. Je sais que maintenant tu es avec quelqu'un. Je sais que ce que je fais n'est pas juste. Je n'ai pas le droit de revenir après ce que je t'ai fait, mais, je devais te le dire. Je t'aime Thomas. Je t'ai aimé dès le début. Maintenant tu sais que tu ne t'es pas trompé. Même si tu ne me crois pas vivre avec toi été une joie pour moi. Rends heureuse ta nouvelle copine, je sais que tu n'as pas besoin de m'entendre dire ça pour le faire. Je dois arrêter de te torturer finalement je suis toujours une petite fille égoïste. On m'a toujours dit que je devais arrêter de chercher le prince charmant. Maintenant je suis prête à ne plus le chercher. Je n'ai plus besoin de preuves, je sais qu'il existe. « Prince charmant : personnage de conte de fée idéalement beau qui délivre et épouse la princesse : homme idéal que recherche une femme. »
Cecilia B.

Wow ...

c exactement le terme ke je chrché!!! wow...

vous avez terroriser ma petite marie chachouille!!

chui pas terrorisé mes c vrai ke ta premiére histoire et wow!!! lol

je suis désolée mais je comprend pas vos réavctions...

c'est que t'a première histoire m'a un peu retourné mais c'est là ton talent !! tu as su tourner l'histoire de manière a ce qu'on ne s'attnede pas a cette fin qui est quelques peu surprenante !!! mais je dois dire que j'aime bocou ton style !!! bravo a toi an tout cas !!!

merci beaucoup mais je ne suis qu'un ecrivain du dimanche. lol
si jamais j'ai une autre histoire je la mettrais mais bon il faut que l'inspiration viennne (très dur) que je me mettais devant un ordinateur (facile) que je prenne le temps (difficile je suis une fegniante ) enfin beaucoup de conditions. lol

eh bien pour un écrivain du dimanche tu es très douée !!! lol

je vais devenir toute rouge comme une tomate

super tes textes !

merci beaucoup samantha. ma soeur me dit que le défaut c'est la longueur. j'ai compris quand j'ai vu qu'il me fallait deux messages. lol

emma-frost a écrit:

merci beaucoup samantha. ma soeur me dit que le défaut c'est la longueur. j'ai compris quand j'ai vu qu'il me fallait deux messages. lol

Au contraire au moins ça nous en fait plus à lire !

c'est très très très très très gentil et encore je pourais en rajouter. lol. mais j'ai peur que ça fasse long.

ah non moi au contraire je suis pour que tu en rajoutes!!

oui moi aussi j'aime bocou ce que tu fais (et quand on aime on ne compte pas !!)

ah je vois que je ne suis pas la seule a apprecier tes textes!!ils sont magnifique, et tu es loin d'etre un ecrivan du dimanche, tu es douée!!

et non tu vois lilouille sur ce coup on est au moins deux !!! c'est vrai qu'emma est très douée !!!

oui mais Lilouille est ma meilleure amie alors même si ce qu'elle dit compte enormément pour moi elle n'est pas très objective. enfin je vous remercie beaucoup beaucoup de ces encouragement.