poeme

Voici mes poemes et j'zimerais des avis pour pouvoir progressé dans mes poemes

claquement final
Tu pars au gré d'un vent
Qui n'est point le tien
Tu vois de tes yeux d'enfant
Que la vie n'est pas si bien

L'immensité représente le danger
Ton doute laisse transparaître
Une faiblesse qui ne peut se cacher
Et qui ne peut disparaître

Tu te laisses voguer
Au gré d'un océan
Dans le but de trouver
Tant de réponse inexistant

Le monde tourne autour de toi
Mais les secondes s'arrêtent face à toi
Les minutes dansent sur le cadran
Mais ce cadran n'existe pas

Les danseurs rentrent en scène
Tu observes leurs grâces et talent
De ton rideau tu vois de belles choses
Mais tu n'y participes pas

Un vautour rôde près de toi
Il déchire la chair sans remord
Ne laisser qu'a la Terre
Que son cœur pour souffrir


La différence

Dans un vert immense et impénétrable
Où l'harmonie règne avec la solitude
L'air brise en mille éclats
Les fleurs dansant avec grâce
Deux ombres se rencontrent
Cet univers crée une osmose
Leurs parfums enivrant se mélangent
Leurs vies volent et s'enfuient
Dans un monde paradiquement beau
Les atomes explosent, se cognent
D'un air majestueux, le temps agit
Deux amants survolent la vie
Leurs âmes montent, montent
Rien ne les touche, les atteint
Les cieux ouvrent leurs portes
Leurs corps, ruisselant d'une eau impure
Dans un mélange de couleurs,
Tache un monde si pur
De leurs entrailles sortent mille choses
Que la terre garde au plus profond de lui
Tel un secret qu'il ne faut dévoilé
Le noir touche le blanc
Deux vies disparaissent secrètement
Dans ce vert immense et impénétrable
Les fleurs dansent mélancoliquement
Deux mondes s'opposent mais ne se rencontrent
Le temps d'un court instant,
Mais la nature, respire, crée, s'anime
Et projette de mille feux
Un océan de couleur

Mélancolie de la feuille
Une feuille tombe le long de mon corps
Fané par le noir, par la vie
Ses feuilles étaient remplis d'or
Que tout le monde a pris

Les pétales jaillisent sur la terre
Telle une âme abondonnée
Ruisselant seule parmi d'inombrable chair
Ne trouvant plus sur quoi s'accrocher

La fleur s'étouffe sous son propre poids
L'air lui manque atrocement
Créant une angoisse dans le soi
Rendant un monde asphixiant

Ce sont vraiment des poèmes magnifiques.

Tes poèmes sont très beaux, ils évoquent un epu de trstesse il me semble..sinon tu as demandé des commentaires pour progresser, alors en voici un:
-je n'ai pas compté tout compté, mais il faut que tu fasses attention au nombre de syllabes, si tu veux faire un quintil, ou un octosyllabes, ou meme un alexandrin...c'est quelque chose de très important dans un poème.
-il faudrait que je fasses une étude un peu plus poussé, mais il me semble qu'il faudrait faire une découpe ''logique'' du poème dans le genre 1ère partie=>thème 2ème partie=>autre thème. Enfin faire une découpe structurée comme un plan argumentatif.
-un petit conseil: utilise plus les figures de styles, il me semble que tu maitrise bien la métaphore, mais tu peux mettre des oxymorons, des anaphores ou des litotes par exemple...

Mais je trouve que tes poème sont très beaux...je me permet de te demander dans quel état d'esprit tu les as écrit car ils dégagent une sensation vague que j'arrive pas à m'expliquer..alors peut-etre que les conditions m'éclaireraient...!!!
BRAVO car tu as un réel talent!!! développe-le!!!

Moi je trouve tes poèmes magnifiques

Je reviens de loin j'avait un peu abononné ce topic!!!
Je vai répondre au roi soleil forever
EN faite j'invente un nouveau style mdr c'est a dire pas de style!!lol!!C'est du free style en faite je ne compte pas les sylade du tout...jessayerais d'en faire
Puis apres l'Etat du moment:assez trite je l'avoue!!


Dans un autre style totalement différent

De la clandestinité



ou les clandestines
qui se défendent en relais
pour une apparence travestie
d’unité
et danse jeu de loups
pas d’épée
ni de révolver
mais pour quoi faire ?
géométrie belliqueuse
signes injonctifs
pressentir sans vivre
un défilé de convenances
sans prendre la liberté
de s’assiéger
une chair molle étirée épuisée des
distorsions orientées par
un impératif autonome
gâchis de cette dispersion
car l’essence s’évapore
ou coule le long d’une joue
pacifiste désoeuvrée sans
détonation
et pourtant

élastique usé

c 'est vraiment trés beau merci
kiss estelle

tes poémes sont tout mimi bravooo