Ma petite nouvelle historique

Voici le début d'une petite nouvelle historique.....de moi ! Bonne lecture

2006 ; Georges se trouvait dans son grenier. Un endroit poussiéreux où il avait décidé de faire un peu de rangement avec sa mère Diane. Georges avait 19 ans et commençait depuis peu à s’intéresser à la famille antérieure ainsi qu’à sa généalogie. Cela devait bien faire deux bonnes heures que lui et Diane ouvraient des cartons remplis de bibelots et autres choses encombrantes lors que le jeune homme vit sa mère assise sur un long tapis roulé, tenant sur ses genoux une petite boite pleine de papier. Levant les yeux vers son fils, Diane murmura :

-Je pense que cela devrait t’intéresser. Toi qui depuis quelques semaines fait des recherches sur tes ancêtres, regardes un peu ce que j’ai là. Ca doit provenir de mes ascendants.

De la boite, Diane sorti des paquets de lettres, une généalogie, divers autres documents écris et deux miniatures. Elle tendit l’un des portraits à Georges :

-Ton ancêtre, Eugène Debras. Il était lieutenant.

Tout en essuyant de son doigt la miniature, Georges s’efforçait de pénétrer le regard de cet homme de grande taille, musclé, portant fièrement l’uniforme, arborant des cheveux blonds plaqué en arrière. Il finit par dire :

-Il ne me ressemble pas…… je ne me trouve ni grand comme lui ni même mince comme il semble l’être.

Sans avoir l’air de prêter attention aux dires de son fils, Diane lui donna la seconde miniature. Celle-ci, encore plus poussiéreuse que celle du lieutenant ne devait pas avoir été admirée depuis bien longtemps. A force de frotter, Georges y découvrit le visage d’une jeune femme d’une vingtaine d’année. Elle avait les cheveux châtains quoiqu’à certains endroit se produisait des reflets blonds. La tête légèrement incliné, elle avait à la fois le regard dur et mélancolique. Lorsqu’il eut examiné le tout, le jeune homme fut parcouru d’un frisson qui n’échappa guère à sa mère.

-Quelque chose ne va pas mon chéri ?

-Sa femme ? se contenta de répondre Georges. Puis, prenant une grande bouffée d’air, il avoua : Elle ressemble étrangement à Adriana….Alors, c’était son épouse ? demanda-t-il d’un ton plus pressant.

-Sa grande passion, une passion impossible comme il en existe tant. répondit Diane tout en farfouillant dans la petite boite. Si tu regardes bien son portrait, tu remarqueras qu’elle porte des vêtements très luxueux que peu peuvent se payer à l’époque.

Tout en parlant, Diane avait sorti du carton une poignée de lettres jaunies par le temps.

-Cela fait bien longtemps que je ne me suis pas remémoré cette histoire….

Comprenant qu’il s’agissait d’une invitation à l’écouter, Georges vint s’asseoir près de sa mère en tenant toujours la miniature de la jeune femme.

-C’était au XIXème siècle. A cette époque, ma famille vivait en Allemagne actuelle. Eugène avait embrassé une brillante carrière militaire. Nous avions des origines bourgeoises qui ont désormais disparu comme bien des choses. Le domaine sur lequel vivait Eugène et sa famille appartenait au comte François-Stéphane Von Brissac, fils unique de comte précédent qui était mort quelques années plus tôt. Il laissait cet héritier qui n’avait pas 20 ans et une fille Ella-Marie-Elisabeth qui devait avoir une dizaine d’année. Leur mère était décédée de la tuberculose alors que la petite comtesse était encore bébé. Le nouveau comte Von Brissac éleva sa sœur du mieux qu’il pouvait et tout ce passa pour le mieux jusqu’à ce que Ella ne rencontre Eugène Debras et ne tombe amoureuse de lui. Les sentiments étaient réciproques mais malheureusement Ella était issue d’un autre monde bien supérieur à celui d’Eugène, le monde de la noblesse, un univers très fermé. Très vite, François à vu d’un mauvais œil la relation d’Ella.

Diane tendit alors à Georges le petit paquet de lettres….

et la suite on l'aura quand?bizou

demain ou dans quelques jours .....si ça plait !

ok pas de souci bonne année!!

Suite....


8 mars 1823

Cher Eugène,

Cela fait bientôt un mois que je ne vous ais pas vu. Je tente de faire plier mon frère mais il semble ne rien comprendre aux sentiments que je nourris à votre égard. Il pense en vieil aristocrate que vous n’en voulez qu’à ma fortune que je toucherais après mon mariage. Mais j’ai bon espoir de l’attendrir. En effet, nous devons bientôt recevoir la visite de mademoiselle Emilie Volcours que François désire prendre pour épouse. Le fait d’être heureux pourra peut être lui donner l’envie de me voir heureuse à mon tour.
Je vous embrasse,
Ella

20 mars 1823

Eugène,

Vous voyez mon cœur au désespoir de vous revoir un jour. Il semble bien que mademoiselle Volcours soit décidée à ce laissé courtiser encore un temps pour mon frère et celui-ci est depuis son départ d’une humeur bien maussade. Je me risque à peine à lui parler de vous et à peine ais-je effleuré le sujet qu’il tient des propos si cruels que les larmes me viennent. Je souffre de ne point vous voir et vous supplie de convenir d’un endroit où je pourrais vous apercevoir.
Adieu
Ella

-Le comte Von machin était un personnage des plus cruels et stupides ! s’indigna Georges tandis que sa mère finissait de lui lire la lettre d’Ella.

-Le comte Von Brissac voulait le bonheur de sa sœur mais il avait déjà eut à faire à des opportunistes qui auraient bien voulu s’approprier la fortune de la petite comtesse. François adorait sa sœur et désirais la protéger de tous. Il pensait que ce n’était qu’un caprice de jeunesse et que l’envie d’épouser le lieutenant lui passerait vite.

-Elle devait vote Eugène en cachette alors ? questionna Georges

-Oui, de nuit, dans la forêt qui entouré le château du comte.

-Et qui faisaient-ils ? interrogea Georges avec une pointe de malice

-Ils ne faisaient qu’échanger des promesses de mariage. répondit sa mère dans un soupir. Que pensais-tu ? Qu’il aller faire l’amour jusqu’à l’aube ? Ils étaient peut être amoureux mais quand même ! A cette époque, on savait se tenir.

A suivre.....

merci pour cette suite et j'attend la suite avec impatience!!

Ohlalala Duchesse à moi ca me plait !!!

Continue stp !!!

Suite :


30 mars 1823

Cher Eugène

Je me suis éveillée ce matin avec votre beau visage à l’esprit. Les quelques instants que vous avez accordez à notre amour me confortent dans les sentiments que j’ai pour votre personne. Pardonnez ma façon pour le moins direct mais je vous aime Eugène. Les derniers mois que j’ai passé en votre compagnie ont été les plus exquis de mon existence. François n’a pas le droit de vous interdire de me voir. Et même si je dois aller contre sa volonté, je vous épouserais quand bien même je dois renoncer à son amitié, soutient et protection. Soyez assuré de tout l’amour je nourris pour vous
Sincèrement,
Ella

-Maman, qui faisait parvenir les lettres d’Ella ? s’enquerra Georges

-L’ancienne gouvernante de la comtesse qui été restée au château sur la demande de celle-ci. Le vieille femme prétextée qu’elle se rendait chez une cousine au village pour déposer les lettres de sa petite protégée et prendre au retour de sa visite, celles d’Eugène. informa Diane

- Mais alors les lettres d’Eugène, où sont-elles ? s’empressa de demander Georges

-A ton avis ? Disparu. Brûlés, cachées soit par Ella soit plus tard par d’autres.


2 juin 1823

Cher cœur,

C’est avec un grand soulagement que j’ai appris que vous étiez revenu de la campagne dans laquelle vous étiez engagé. Vous ne pouvez imaginer mon soulagement de vous savoir sain et sauf. Je me consumais d’inquiétude durant ces dernières semaines. Mais grâce au ciel, vous êtes enfin de retour. Il faut que nous nous voyions prestement.
Adieu
Ella

5 juin 1823

Mon cher Eugène,
Je vous conjure, demandez encore une fois ma main à mon frère. Certes, il vous l’a refusé il y a quelques temps mais depuis, vous avez fait valoir vos qualités, votre courage, votre sens des responsabilités. Je reste tout le jour enfermé dans mes apparentements attendant un signe de vous. Nous nous sommes vu il y a de cela deux nuits et pourtant, il me parait que cela fait une éternité que vous ne m’avez pas prise dans vos bras.
Adieu cher cœur,
Ella

A suivre...

vivement la suite!!!!!! biz

-Et alors ? s’impatienta Georges. Il a redemandé la main d’Ella ?

-Oh ! Malheureusement pour lui, oui, Eugène a demandé à nouveau la permission d’épouser Ella et le comte lui en envoyé la réponse…..la voici :

20 juin 1823

Lientenant Debras,

Vous me voyais des plu navrés de ne pour donner suite favorable à votre demande concernant ma sœur, la comtesse Ella-Marie-Elisabeth Von Brissac. Certes, vous demeurez homme de bien sans histoire et avait démontré à plusieurs reprises votre courage et votre sens du devoir et de l’honneur. Néanmoins Monsieur, je destine à la comtesse un parti issu du même monde. Par conséquent, je vous demande humblement de cesser de donner des espérances à la comtesse et de vous tenir éloigné d’elle.
Comte François-Stéphane Von Brissac

-Eugène tenait là la réponse directe qu’il ne serait jamais question qu’il épouse Ella. Et dés lors, il décida de respecter la demande du comte et de ne plus revoir celle qu’il aimait. Il renonça également à lui écrire et espérant qu’elle finirait par ce résigner et à épouser celui que son frère lui avait choisi. Et qui sait se disait Eugène, peut-être qu’Ella sera heureuse avec lui. Pour éviter à sa jeune femme de trop souffrir, le lieutenant choisi de faire l’indifférent et de ne plus répondre aux lettres même si cela lui brisait le cœur.

-Mais maman, toi tu es là donc pour finir ils se sont quand même mariés !?! s’écria Georges

-Toujours à vouloir connaître la fin avant l’heure. soupira Diane


28 juin 1823

Cher cœur,

Depuis votre demande faite à mon frère, je n’ai plus de nouvelles vous. Je me languie fort de votre personne. Au plus profond de moi j’espéré pourtant que la réponse de François serait favorable. A présent, je ne vois plus qu’une solution pour sauver notre amour : la fuite. Venez me chercher trésor, je vous suivrais partout. Je ne puis heureuse qu’avec vous. Dites moi quand et je serais prête.
Adieu
Ella

a quan la suite? bizou

Génial !!

Bravo !!

vivement la suite !!!

Merci pour les encouragements !

Suite....

2 juillet 1823

Cher cœur,

Pourquoi ne répondez-vous pas à mes lettres ? J’ai hélas de bien tristes nouvelles à vous transmettre. Mon frère a décidé de me faire épouser le baron De Laduc, un homme merveilleux certes mais approche de la quarantaine et pour qui je ne ressens rien malgré les douces intentions qu’il a eut pour moi jusqu’à présent. Aujourd’hui, je sais que François n’en démordra point et qu’il tient à cette union. Je n’en veux rien savoir. Donnez réponses à mes lettres je vous en conjure. Vous mettez mon pauvre cœur au supplice. Je pense a vous sans cesse et j’en suis à me rendre malade rien qu’en songeant que bientôt je serais baronne contre mon grée. Je ne saurais supporter ceci. Eugène par pitié venez me chercher. Voyez-vous a quel point je m’abaisse et vous supplie en ce jour. Croyiez-vous que ne plus me donner de nouvelles me fera renoncer à vous ? Je préférerais la mort plutôt qu’une vie sans vous mon amour.
A jamais votre,
Ella

-Eugène était tiraillé par la dépression dans laquelle Ella semblait s’enfermer et plus d’une fois il voulu y mettre un terme. Mais il ne bougea pas, recevant toujours des lettre de sa bien aimée, sans y répondre.

-Mais quel con alors ! s’indigna Georges. Pourtant, il avait les moyens de monter sur un cheval et d’aller la cherche ce crétin ! Pourquoi il n’a rien fait ?

-Par amour. conclut sa mère. Il a décidé de sortir de sa vie.


9 juillet 1823

Mon amour,

Je n’en puis plus. Cette attente devient insupportable. Ne m’aimez-vous donc plus ? Cela vous laisse-t-il indifférent de savoir que dans deux semaines je serais mariée au baron ? Je souffre comme il n’est point permis de souffrir. Cela fait maintenant trois jours que je veux plus rien avaler, espérant que me voyant dans ce triste état, mon frère admettra notre union. Et que faite vous ? Rien. C’est la peine si je peux soulever la main pour la tremper dans l’encre puis la trainer sur le papier pour vous écrire. M’auriez-vous abandonné ? Vous qui disiez tant m’aimer et vouloir m’épouser où êtes-vous donc à cet heure ? Que de questions laissées sans la moindre réponse. Mais je vous attendrais jusqu’à ma mort. Je ne bougerais pas de ma fenêtre priant pour vous voir arriver au loin. Depuis votre dernière lettre je ne vis plus : je survis. Ne me laissez pas à mon funeste sort. Je vous aime infiniment.
Eternellement,
Ella

A suivre....

génial!mais qu"est qu'il est pas sympa avec sa bien aimée !!!

Ouais c'est génial !!!

Suite...


13 juillet 1823

Mon cher amour,

Je sens la vie qui me quitte mais pas assez vite à mon gout. Dans quelques jours doit avoir lieu un mariage, je vous prédis que ce sera un enterrement ou notre mariage. Je consens à manger un peu car François a menacé de renvoyer ma bonne gouvernante qui fait tant pour nous. Je ne voudrais pas qu’elle soit sans rien à cause de moi, à cause de vous. Vous me faites tant de mal. Mon ventre se tort tant il meurt de faim et je ne consens pas à lui donner plus que je ne peux avaler. Mes nerfs sont a bout et menacent de lâcher sous peu. Je n’attends plus rien de la vie mis à part vous. Oui, vous que j’aime encore, que j’adorerais jusqu’à mon dernier souffle. Je ne parviens point à vous en vouloir et vous supplie encore une fois de m’écrire, de me dire que vous m’aimez et que vous me voulez, moi, pour toujours. Mon cœur est mis au supplice depuis votre absence et ne pourra bientôt plus continuer à battre sans vous près de moi. Je me mets à genoux devant vous et vous supplie de venir m’arracher à cet enfer. Je n’ai plus rien à dire si ce n’est que je vous aimerais toujours quoiqu’il arrive.
Eternellement votre,
Ella

-Aller maman ! Que dis la suivante ? Que dit la lettre suivante ? s’empressa de demander Georges.

-C’était la dernière lettre. Articula Diane, submerger par l’émotion.

-Comment ça la dernière ? On a détruit les autres ? On les a perdus ? pressa son fils

-Non Georges. C’est la dernière lettre d’Ella.

-Comment ça ? Expliques-moi !

-Trois jours après avoir écrit cette lettre, Ella n’a pas répondu lorsque son ancienne gouvernante a frappé à sa porte. Elle a alerté le comte et celui-ci à enfoncé la porte de la chambre. Il n’y avait personne. La fenêtre était grande ouverte et la robe réservée à la cérémonie de mariage était étalée sur le lit d’Ella. Accroché au pied du lit, un drap qui avait été lancé depuis la fenêtre. Le comte demanda un cheval pour partir à la poursuite de sa sœur qui s’était probablement enfuie. C’est alors qu’il entendit une grande agitation dehors et sorti aussitôt. Ella n’avait pas quitté le château. Une fois en bas, le comte leva les yeux dans la direction où tout le monde regardait. Tous avaient le regard posé maintenant en silence sur le deuxième étage du château, sur la fenêtre de la comtesse. Ella portait autour de son cou la ceinture blanche de la robe de cérémonie qui elle-même était attachée au bout du drap.


17 juillet 1823
Lieutenant Debras,

C’est avec une profonde douleur qui dépasse de bien loi tout ce que l’on peut écrire que j’ai l’extrême regret de devoir vous annoncer la mort de ma très chère et regrettée sœur, la comtesse Ella-Marie-Elisabeth dans sa vingt-deuxième année. La tristesse m’oblige a écourter ce message.
Comte François-Stéphane Von Brissac


Georges avait depuis un temps les yeux fixés sur le portrait d’Ella et sa mère s’aperçut bientôt qu’il versait des larmes. Il parvint à demander :
-Et après ?

Emue elle aussi par cette histoire qu’elle et son fils venaient de vivre en tant que spectateurs, Diane répondit :

-Eugène fut bouleversé par la mort d’Ella. Jamais il n’avait pensé qu’elle irait aussi loin bien que ses dernières lettres le laissaient présager. L’année suivante pourtant, Eugène qui atteignait ses 26 ans épousa une petite bourgeoise pour laquelle il n’avait aucun sentiment. Il était fils unique et ses parents l’ont presque forcé à se marier pour qu’il y ait descendance. De cette malheureuse union, ne naquit qu’un fils, après quoi, Eugène se dit qu’il avait fait son devoir et n’approcha plus son épouse. Le comte Von Brissac épousa Emilie Volcours trois mois après la mort de sa sœur. Emilie lui fit oublier son chagrin et lui donna une nombreuse descendance.

-Et aujourd’hui, il y a encore des Von Brissac ? questionna Georges sur un ton pressant.

-Oui certainement mais je ne pense pas que ce soit sous ce nom là. D’après ce que je sais, François-Stéphane a eut de son mariage cinq filles et quatre fils. L’aîné ne s’est pas marié et est mort sans enfants, le second n’a eut que des filles, le troisième a perdu son fils unique en bas âge et le quatrième n’a lui aussi produit que des filles. Le nom de Von Brissac a donc disparu et d’après ce que j’ai pu apprendre, la descendance de François-Stéphane a perdu ses titres de noblesses, probablement à cause des mariages, et une partie a quitté l’Allemagne pour la France ou les Pays Bas. conclut Diane. Pourquoi ?

-Parce que maman, Ella et Adriana se ressemblent comme deux gouttes d’eau. Attends…

Georges revint quelques instant plus tard avec une photo représentant une jeune femme, un sosie parfait de la comtesse défunte.

-Grand dieu est-ce possible ? Surement une descendante du comte Von Brissac qui a pris les traits de sa défunte sœur… Oui maintenant je me souviens que selon certains, sur son lit de mort, Eugène a prédis qu’un jour, l’un de ses descendants et une descendante du comte François-Stéphane ressemblant fort à Ella vivraient l’amour que n’ont pas pu vivre lui et Ella.

- Maman, je suis sorti avec Adriana il y a quelques temps. confessa Georges. Mais juste deux jours. Elle m’aimait depuis plusieurs mois et moi je venais de rompre avec Nathalie alors pour m’amuser je l’avoue, j’ai fait croire à Adriana que j’étais amoureux d’elle. Mais deux jours après je suis retourné avec Nathalie et Adriana m’en a beaucoup voulu d’avoir joué avec ses sentiments. Je me suis excusé mais sans résultat.

-Et maintenant ?

- Maman ! Tu ne te souviens donc pas ? Adriana est morte depuis bientôt cinq mois dans un accident de voiture. Le pire, c’est que je crois qu’au fond je l’aimais…..

FIN

C'est formidable....

Merci beaucoup c'est très très bien écrit !!!

super c'etait très bien!!merci

Merci pour tous vos encouragements